Bonjour. Je m'appelle Tom, Tom Wayne.
Je ne sais pas qui vous êtes, je ne sais pas qui me lira mais peu importe, mon histoire restera la même. Elle n'est pas si longue ou si interessante que ça. C'est juste la mienne, je n'y changerai rien, je ne la transformerai ni ne l'étofferai pas.
Ceci est mon histoire.
Je suis un agent Alpha. Mais avant d'arriver à ce stade, j'étais un agent Bêta et un homme normal, aussi un adolescent et un enfant, puis même un foetus, j'ai eu le même commencement que n'importe lequel d'entre vous.
Revenons 29 ans en arrière, lorsque j'étais un foetus, j'ai assister au mariage précipité de mes parents bon, bien sure, on m'avait pas envoyé d'invitation pourtant j'étais là, en elle ma mère. quelque 5 mois avant ma naissance, Jane Swonner, la main sur son ventre, s'était marié à Andrew Wayne. Je suppose qu'il est mon père quoi que la ressemblance ne soit pas saute aux yeux.
Je suis donc né ensuite, oui, je n'avais pas vraiment le choix, j'ai du quitté cette espace où je flottais tranquillement pour connaitre les difficultés et stupidités de la vie, la vraie, celle où tout le monde va... le grand truc et on dit que le néant c'est après ou avant... ben p'tetre que je préférais le néant.
Lorsque je suis né la musique résonnait dans ma tête, on me confia par la suite que c'était du Beethoven, c'est peut-etre pour ça que j'ai des sensations nouvelles a chaque fois que j'entend ces oeuvres.
Je suis né le plus long jour de l'année 1980. Le premier jour de l'été aussi, pourtant je déteste profondément cette saison, peut importe.
Je vous ai dit que je vous parlerai de ma vie, de cette suite d'évenements sans la changer et bien c'est ce que je vais faire. Non, je n'ai pas eu une enfance marquante horribles avec des parents indignes, je n'ai pas eu nonplus une enfance à vivre comme je voulais avec des parents formidable à la campagne.
Mon enfance fut banale, elle aussi.
Mes parents étaient sympathique, il faisait leur possible pour que je vive normalement, pour que je vive facilement, que j'aprenne, que je sois normale. J'eus rapidement un frère, Yohan et une soeur, Kate. Tout deux avaient donc deux ans de moins que moi, des jumeaux, ils me laissaient à l'équart de tous leurs jeux.Je ne leur en ai jamais voulu.
Je n'ai jamais été un gamins que l'on pouvait repertorié, en cours, je ne ressemblais à personne, je n'étais pas un prototype moyen de cours, je n'étais pas le binoclard de premiers rang, timide, mauvais en sport et qui n'osais pas parlé. Je n'étais pas nonplus le héros de la classe qui était au fond et qui se foutait des cours. J'avais un bon feeling avec tout le monde de ma classe en ayant tout et pour tout deux amis, je leur refaisais le monde, on était les gars sur un banc à parler, je devais être le plus charismatique et le plus social des trois, bien que ça ne soit pas mon choix.
On a grandi, on passait de classe en classe, de salle de retenue à salle de retenue. On vivait, petit à petit, on gagnait en liberté, je vous ai dit que j'étais un gars banal, vous me croyez à présent. Un jour tout à basculer cependant, j'allai enfin sortir de mon appathie pour vivre et avoir une passion.
Cette passion ce fut la musique, on était tout les trois sur notre banc, les pied sur l'assise, le cul sur le dossier comme tout collégien moyen, on écoutais de la musique.
Ce fut la chose la plus étrange de ma vis, on tapait du pied au son de la batterie lorsqu'au sixième temps, on s'est regarder et on s'est compris.
Ce soir-là, chez nous, chacun de nous a commencé à harceler ses parents pour avoir un instrument, je fus préposé à la guitare, Rico à la basse et Sammy à la batterie. Bien sur on est arrivé à nos fin qu'un mois plus tard, le soir de noel et à partir de ce moment-là nous commencèrent à devenir inséparable, répétitions sur répétitions. Je fus vite promus Leader titre qui ne m'arrangeais pas mais qui allait très bien avec mon role de guitariste chanteur.
J'avais enfin trouvé une raison de viovre, pourquoi je vous explique ça ? Et bien c'est pour vous faire comprendre que je n'ai jamais vouluêtre agent secret, je n'étais pas un fan inconditionel des James Bond ou autre OSS 117. Je vivais dorénavant pour la musique, bien sur les autres ado nous respectait de plus en plus, chose qui m'agaçait prodigieusement et que pourtant Rico et Sammy adoraient, ils adoraient cette réputation. Nous entrèrent au lycée déjà connus, tout allait sur des roulettes, les résultats scolaires étaient toujours moyens mais l'important c'est de passer dans la classe suivante.
Un concert tout les deux mois, pas des cadences infernales, juste assez pour avoir du fric et se faire plaisir.
En terminal tout bascula, bientot les exams de fin d'année bientot à nous les universités, on trouverait la même et continuerait le groupe ou sinon, on se laisserait aller et on essayrait de percer dans la musique. Tout était plausible, après tout, on vivait, c'était ça le plus important.
Sammy fut assassiné en mai par un dealer de drogue, Sammy lui devait un bon paquet. Tout s'écroula lorsqu'on vit son corp traverser de 6 balles. Plus de batterie, plus ce pote d'enfance, merde pourquoi fallait-il que ce soit un junky ? Il n'y avait rien à faire la vie était mal foutue. Tout allait de travers, on avait l'avenir devant nous et même des copines qui voulaient nous suivre, des filles qui ne nous regardait pas que comme des membres d'un groupe de rock.
On était heureux, Sammy le junky avait tout gaché.
Rico ne savais plus quoi pensé, il a arreter le jour d'après toute drogue et même autre comme l'alcool et le tabac, il devenait un bon samaritain, chaque faux pas pour lui était à punir. Il n'avait plus la même âme.
Ce mois là, alors que je n'avais pas 18 ans, j'ai compris que faire de la musique ne servirait à rien, ne serait pas une solution à toutes les emmerdes actuelles qu'il y a sur le monde. J'ai compris qu'en faire mon métier serait stupide, ça apporterait bonheur à certaines personnes mais rien de plus, ça ne sauverait personne. Avais-je tort ou raison, peu importait.
L'année suivante fut aussi une grosse étapes dans mon existence, plus de Sammy plus de Rico et plus de famille, ma famille qui était déjà très loin dans ma vie s'éloignait encore plus, j'avais donc bien déménagé dans le nord, à des milliers de kilomètres de Manhattan, de la big apple qui était ma ville de naissance. Je m'étais éxilé à Vancouver.
EXil, oui c'est bien ce que je voulais, partir de ma ville natale, partir loin penser à autre chos eà une autre carrière, à sauver des vie, enfermer des dealer. Vanger en quelques sortes la mort de Sammy.
Je fis des études, peu longue, je voulais conquérir le monde. 2 ans d'études à Vancouver ont suffit à me dégouté à vie.
Je commençai donc à voyager, à m'entrainer seul, sachant que cette solitude ne meménerait à rien mais bon avais-je le choix ? Oui, ej l'avais c'est ridicule de se donner des excuses ainsi... Je voulais être seul, ne pas montrer mes faiblesses au monde tant que j'en aurai, j'étais persuadé qu'avec de l'entrainement je deviendrais invincieble. J'y suis presque arrivé pas assez.
Je m'entrainais au lancer de couteau, à tout sers trucs de barges, au tir, même le tir à l'arc y passa, au cas où je voulais me la jouer à la Legolas.
Je ne savais pas où ça me ménerait, mais je m'entrainais, je suivais des trucs, j'ai réussis à dissuader deux trois voleurs de ne pas toucher à un petit commerçant. Je collectionnait les BA, tentant d'en faire une par jour. J'échouai lamentablement.
Ma vie était donc devenue pire... je commençait à désespéré, me disant que j'aurais du conquérir le monde avec le son de six cords et de ma voix, j'aurais peut-être aider des déprimés, parait que ça marche.
Un jour, alors que je faisais "Pan pan" sur une cible, marquant en plein dans le mile
, un gars me tappota l'épaule. J'enlevais mon casque quand il me faisait signe de sortir du couloir de tir... "Qu'est-ce qu'il me veut celui-là ?" . Heuresement j'avais déjà le self-controle que j'ai toujours et j'attendis qu'il me parle. Je me souviendrais toujours de cette discussion. Une des plus importantes de ma vie en même temps.
-Tom Wayne ?
-Oui, c'est moi, à quel sujet ?
A ce moment là, il m'emmena ailleurs, à un endroit surement où il était sure qu'on ne nous écouterai pas, j'avais une pulsion d'adrénaline, gamin comme j'etais 21 ou 22 ans max.
-Nous avons une proposition à vous faire. Seriez vous pret à tout lacher, maintenant, de suite ?
-Oui.
-Vous voulez agir contre le banditisme et autre chose d'après nos information, seriez vous pret à devenir l'un de nos agents ?
J'avais eu la tête qui tournait d'un coup, je me demandais comment il savait ça de moi, si ce n'étais pas un rêve après tout ce qui venait de se passer. Je trouvait ça abrupt, trop dit d'un coup, j'avais du mal à y croire, toutefois je répondis rapidement "Oui".
L'homme m'avait donné des dernières infos, il faudrait être à Las Vegas dans deux jours armé si je le souhaitais. IL m'avait donné une adresse précise, j'aurais des tests à passeret selon les test une formation plus ou moins longue.
Lorsque j'étais entré dans mon groupe de rock j'avais l'impression que je débutai ma vie, j'eus donc l'impression de renaître lorsque je pris le premier vol pour la ville de l'irreel et du jeu.
Les testsvinrent, oui je ne rêvait pas, à moins que la douleur puissent êtrre rever, il verifiait nos aptitudes dans tout les domaines, bien que je n'ai pas fait beaucoup d'études, je pètais les scores niveau mentale et organisation tandis que j'étais assez bon en forme physique et autre. On ne me fie pas faire de formation, chose très rare parait-il. Je n'en fus pas très fier, je n'avais rien d'un paon à montrer avec fierté son plumage.
Non, je me la fermais, j'étais le nouveau, un nouveau Bêta.
Les missions s'enchainèrent, j'eus la chance de faire parti de beaucoup de chose secretes, tout dans la discrétion, j'adorais ça, prendre par surprise, jouer l'agent secret. J'etais bien dans ce milieu, chaque fois que je traquais un dealer je pensais à Sammy et à la vie que j'aurais eu s'il n'était pas mort.
Puis je me compris que les dealer n'était pas le plus marrant à avoir, non c'était le petit poisson facile à avoir et capturer quand d'autre plus dangereux ou plus astucieux filaient toujours.
Le temps passaient vite action sur action puis je fus promus, je fus promus rapidement, ce qui me gena d'abord, des collègues qui étaient Bêta depuis si longtemps et qui revait de cette promotion ne l'avait pas à cause de moi. Le sentiment de regret passa rapidement lorsque je vis les enquêtes des Alphas, il y avait rien à voir avec les Bêta.
Un des Agents commença à m'expliquer les rudiments des plans, de la logique, de la praticité, tout ce qui était quasiment inné pour moi, en vu de la retraite, ensuite, il parti, me laissant les rènes des opération, les autres Alphas commençaient à me demander leur accord etc ce qui m'énervait prodigieusement, ne dépendre de personne et n'avoir personne qui dépend de soit... J'enfreignais ma deuxième règle je ne pouvais pas.
Après deux trois discussions, on se mit d'accord, personne n'était supérieur à personne chez les Alphas, après tout un petit groupe comme celui-là n'a pas besoin de chef et chacun avait son role à jouer, personne d'inutile. C'est toujours comme ça que l'on travaille, chaque membre ajoute quelque chose de personnel et de grand à toute l'équipe.
Les enquêtes continuèrent, on traquait les plus important criminels, ceux que les Bêta ne rêvent même pas de poursuivre. Parmis eux, Sand Unless, son nom en fait frémir plus d'un et pas sans raison. Sand Unless, mise à prix, un millions de dollars. Qu'est-ce que ferai pas le gouvernement pour le choper, on se demande, on se croirait dans le far west avec les brigands de haut vol à la Jesse James.
Sand Unless nous l'avons traquer et nous le traquons toujours malgré les cicatrices qui courent le long de mon corps, l'absence de peur de la mort que j'ai me suffit à vouloir le retrouver, comme si en entendant son nom je perdais tout instinct de survie, même le plus primaire. C'est bien simple, sans Lizzie, je ne serais plus là et à cause de qui ? De ce criminel, je ne lui en veux pas, je voux presque un culte pour les criminels mais celui-là, n'est pas comme les autres, sans conteste, le plus malin et le plus dangereux de la ville. Il ne tue pas forcément pour le plaisir mais j'ai remarqué qu'il sentait qu'il était nécessaire de m'éliminer. Sentait-il une menace de ma part, aucune idée. Les Alphas sont les membres les plus dangereux pour lui sans doute mais il a écouté Lizzie.
Après cette affrontation, j'ai eu droit àmes jours d'hopital bien sur et même à un congé que je n'acceptais pas, je voulais plus que tout le choper, je formais déjà des plans dans cette chambre qui puait les médocs. Je ne l'ai toujours pas eu, il va courir encore un bon bout de temps d'après moi, Lizzie en ai troublé, elle n'a toujours pas compris pourquoi Unless l'avait écouté. Spécial l'homme.
Toujours en est-il qu'on coure après ses basque et qu'on essaye de le choper grace à d'autre criminels plus vulnérables, un beau poisson.
La vie continue son cours, agent Alpha, je ne compte pas m'arrêter tout de suite.
Je m'appelle Tom Wayne, mon histoire manque surement d'élément, je ne vous ai dit que ce que je suis en droits de vous dire, j'en ai surement déjà trop dit. Je ne sais pas comment l'agence m'a retrouvé, mais ça a changé mon destin.
Mon histoire ne vous a peut-être pas tenu en haleine, ce n'était pas son but, je voulais simplement vous expliquer ma vie, elle n'est pet-être pas si différente de la votre, qui sait ?
Je m'appelle Tom Wayne, ceci était mon histoire.
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Sujet: Tom Wayne fini. 
Jeu 28 Aoû - 12:57
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